La Terre du Désert
01/02/2024
Iguanedudesert

MÉLANCOLIE

MINUTE IGUANE !

Reste ma mémoire dans ce dédale de couloirs qui n’en finit pas !

Ecrire sur ce thème est difficile, j’ai beaucoup de souvenirs qui me reviennent en mémoire. Comment s’exclamer sur la fin d’un monde ? La fin d’un cycle ?
Tous les facteurs s’installent et commencent leur désaccord. Je n’ai pas envie de vous parler de chiffres, de numérologie, d’astres et d’autres artifices lorsqu’une personne que vous connaissez à peine, vous dit avoir une de ses connaissances avoir la même vision que moi.

Cette date du 19 avril 2025 s’installe dans la mémoire collective, aurons-nous le choix ? Ou celui-ci est-il déjà acté ?
Tout s’envenime pour ne donner qu’un résultat de souffrance, une incompréhension du genre humain qui s’obstine dans des démarches hasardeuses et malchanceuse, qui s’offusque dès la moindre remarque, qui regarde de travers ou qui préfère planter plutôt que d’assumer !

Lorsque le choc n’est plus, l’aberration s’installe et les conséquences s’oublient dans les cris.

Mélancolie…. Une journée à rester au lit ne changera rien.

Mélancolie… Une ballade, un restaurant, qui sait où on sera ?

Mélancolie… Des plans de secours….

Mélancolie… Des provisions, s’armer de patience, attendre que le ciel change de couleur…

Mélancolie, je me perds dans les « on-dit » et suggère des idées qui pour l’heure ne sont que des aprioris et des séquelles d’un monde qui disparaît.
Ecrire sur ce thème est difficile, j’ai beaucoup de souvenirs qui me reviennent en mémoire. Comment s’exclamer sur la fin d’un monde ? La fin d’un cycle ?
Tous les facteurs s’installent et commencent leur désaccord. Je n’ai pas envie de vous parler de chiffres, de numérologie, d’astres et d’autres artifices lorsqu’une personne que vous connaissez à peine, vous dit avoir une de ses connaissances avoir la même vision que moi.

Cette date du 19 avril 2025 s’installe dans la mémoire collective, aurons-nous le choix ? Ou celui-ci est-il déjà acté ?
Tout s’envenime pour ne donner qu’un résultat de souffrance, une incompréhension du genre humain qui s’obstine dans des démarches hasardeuses et malchanceuse, qui s’offusque dès la moindre remarque, qui regarde de travers ou qui préfère planter plutôt que d’assumer !

Lorsque le choc n’est plus, l’aberration s’installe et les conséquences s’oublient dans les cris.

Mélancolie…. Une journée à rester au lit ne changera rien.

Mélancolie… Une ballade, un restaurant, qui sait où on sera ?

Mélancolie… Des plans de secours….

Mélancolie… Des provisions, s’armer de patience, attendre que le ciel change de couleur…

Mélancolie, je me perds dans les « on-dit » et suggère des idées qui pour l’heure ne sont que des aprioris et des séquelles d’un monde qui disparaît.