Ce n’est pas notre corps physique qu’il faut armer, ce sont nos pensées, notre conscience.

L’être humain se caractérise comme étant « rien » lors d’une perte, on s’amuse la veille, le lendemain, nous disparaissons pour ne laisser qu’une trace de notre passage.

Dans certaines religions, on flagelle le corps matériel en conséquence de nos pensées, de notre prise de position face à un événement.

Les pensées sont propres à chacun et chacune d’entre nous, les renier ou les contraindre, n’est pas une façon de les protéger.

Être est avant tout synonyme d’un ensemble de connexions qui passe par un flux d’énergie et se mélange à notre conscience, esprit et âme.

Néanmoins, nous sommes bien seul(e)s face à nos pensées, certaines interagissent avec une compréhension, tandis que d’autres font souffrir. Quelle serait la limite à ne pas franchir ? Lors de pensées irrationnelles, qu’écouter ? La petite voix qui sombre ou la lumière intérieure ?

Le travail sur Soi permet de se protéger, je ne dis qu’il sera simple, mais c’est le seul sentier où la construction s’établit.

Etre humain, c’est avant tout de savoir ce que l’on est avant de savoir qui nous sommes.