Un tempo s’accordant sur une vie animée d’une nature immense.
Comment exprimer ce ressenti lorsque nous nous présentons face à l’immensité ? Beaucoup d’émotions se bousculent, se mélangent, pour nous confronter à une réalité imposante : nous sommes petits.
Que ce soit dans l’échelle temporelle où la nature ne nous as pas attendu pour se façonner d’elle-même, ou dans la grandeur d’un désert, d’un océan ou d’une forêt, nous sommes dépendants face cette histoire commencée bien avant notre naissance.
Se croire supérieurs nous engage dans une protection sans faille, l’humain n’est pas assez fort aujourd’hui, parasité par des questions de destruction massive, il s’enlise dans un pouvoir de conquête.
À en croire les écrits, nous n’avons pas assez de recul et sommes dépendants de ses ressources au prix de les asséchées. L’humain mutera. Privé de ressources nécessaire à sa survit, si on avait su plus tôt ? La renaissance d’une nature laissée à la merci de l’humain ne pourra s’effectuer que par des restrictions strictes.
Dans son immensité plane sa fin.
Comment exprimer ce ressenti lorsque nous nous présentons face à l’immensité ? Beaucoup d’émotions se bousculent, se mélangent, pour nous confronter à une réalité imposante : nous sommes petits.
Que ce soit dans l’échelle temporelle où la nature ne nous as pas attendu pour se façonner d’elle-même, ou dans la grandeur d’un désert, d’un océan ou d’une forêt, nous sommes dépendants face cette histoire commencée bien avant notre naissance.
Se croire supérieurs nous engage dans une protection sans faille, l’humain n’est pas assez fort aujourd’hui, parasité par des questions de destruction massive, il s’enlise dans un pouvoir de conquête.
À en croire les écrits, nous n’avons pas assez de recul et sommes dépendants de ses ressources au prix de les asséchées. L’humain mutera. Privé de ressources nécessaire à sa survit, si on avait su plus tôt ? La renaissance d’une nature laissée à la merci de l’humain ne pourra s’effectuer que par des restrictions strictes.
