La Terre du Désert
04/07/2024
Iguanedudesert

MATÉRIEL AIMANT

MINUTE IGUANE !

Que reste-t-il après ? Seul le corps devient poussière, que fait-on de notre confort qui n’auras duré que 60 ans ?

Notre quotidien se résume à des biens matériels.

Notre comportement se résume à des statistiques en fonction du nombre d’heures dans une salle de cinéma ou du nombre d’heures sur un jeu vidéo.

Les années passent et le changement s’opère ou non en fonction de nos envies. Société de consommation oblige, nouveau canapé, une cuisine fonctionnelle, dernier cri, s’autoriser nos envies de sortir, acheter le dernier modèle, se mettre à la page.

La jalousie d’acquérir les biens des autres pour améliorer notre habitat. L’argent, pourtant, ne pousse pas dans les fleurs et ne tombe pas du ciel.

Notre réalité est notre confort, la place manquante est optimisée.

Au dernier moment, nous avons profité, mais notre habitat à part souvenirs, que reste-t-il ?

Nous nous offusquons lors d’un documentaire au bout du monde, où le confort n’existe pas et pourtant, nous avons toujours cru que s’enrichir amenait le bonheur. La nature immense de ses terres arides commence à pousser et à refreiner les ardeurs d’un monde en perdition.

Au final, notre confort aura duré une soixantaine d’année, nous ne pouvons emporter nos richesses et notre bien, s’épanouir, oui, mais il y a tellement de façon, la première, est à l’intérieur de Soi.
Notre quotidien se résume à des biens matériels.

Notre comportement se résume à des statistiques en fonction du nombre d’heures dans une salle de cinéma ou du nombre d’heures sur un jeu vidéo.

Les années passent et le changement s’opère ou non en fonction de nos envies. Société de consommation oblige, nouveau canapé, une cuisine fonctionnelle, dernier cri, s’autoriser nos envies de sortir, acheter le dernier modèle, se mettre à la page.

La jalousie d’acquérir les biens des autres pour améliorer notre habitat. L’argent, pourtant, ne pousse pas dans les fleurs et ne tombe pas du ciel.

Notre réalité est notre confort, la place manquante est optimisée.

Au dernier moment, nous avons profité, mais notre habitat à part souvenirs, que reste-t-il ?

Nous nous offusquons lors d’un documentaire au bout du monde, où le confort n’existe pas et pourtant, nous avons toujours cru que s’enrichir amenait le bonheur. La nature immense de ses terres arides commence à pousser et à refreiner les ardeurs d’un monde en perdition.

Au final, notre confort aura duré une soixantaine d’année, nous ne pouvons emporter nos richesses et notre bien, s’épanouir, oui, mais il y a tellement de façon, la première, est à l’intérieur de Soi.