I. La Disparition « physique » du Corps Humain :
Après départ, il est très souvent difficile et délicat d’avancer, de continuer notre vie en laissant derrière nous l’attache affective de l’être que nous avons aimé.
En parler évoque les souvenirs vécus et tristement lointains, anodins, oubliés, joyeux, mélancoliques… tous ressurgissent à cet instant précis.
Notre mémoire joue un rôle important à cette étape de notre vie, elle nous plonge dans une sorte de boucle temporelle ainsi d’atténuer la douleur de la perte, les souvenirs retrouvés nous émerveillent à nouveau. Nous percevons néanmoins un sentiment de culpabilité, sentiment de ne pas avoir été assez présent/présente à leurs côtés.
II. Le Ressenti Spirituel :
Le corps n’est plus mais l’essence spirituelle subsiste. Elle ne s’éteint pas, elle est l’unité de nos corps et de nos différents liens (ressentir une présence proche de nous).
a) Méditation Latente :
Cet état relève d’un apaisement stable sans émotions particulières qui l’entrave. C’est avec cette plénitude que votre essence spirituelle cherche celle qui vous est familière.
b) Essence Familière :
Elle est perceptible lorsque notre éveil est maintenu dans une forme de méditation latente. Cette présence, nous la sollicitons, non pas pour nous détacher de cette perte et continuer notre vie mais pour nous construire spirituellement.
III. Construction Spirituelle :
Nous sommes très souvent ébranlés/ébranlées, déstabilisés/déstabilisées dans cette épreuve difficile. L’attachement que nous portions de leur vivant ne cesse de nous hanter.
La « Construction Spirituelle » se constitue avec notre esprit et notre essence.
Apparaissent alors une phrase anodine souvent répétée, un bruit particulier, un songe… Ces "signes" se distinguent parmi tant d’autres, cette présence vous rassure, vous aide.
De cette construction ressort une libération « d’état névrosé » ponctuel de nos craintes, de nos contraintes, de nos origines (pour la perte d’un membre de la famille ascendante). Cet état naît à certains moments de notre vie quotidienne après la perte de l’être. En fonctions des attaches que nous avons apportées à cet être de son vivant, cet état peut être plus ou moins long en termes de mois.
Je n’ai pas de solutions à vous proposer, chacun/chacune est différent/différente en fonction de ses émotions, de ses souvenirs, de son ressenti. La seule chose que je puisse faire pour vous aider, c’est d’adapter vos communications avec vos défunts proches.
I. La Disparition « physique » du Corps Humain :
Après départ, il est très souvent difficile et délicat d’avancer, de continuer notre vie en laissant derrière nous l’attache affective de l’être que nous avons aimé.
En parler évoque les souvenirs vécus et tristement lointains, anodins, oubliés, joyeux, mélancoliques… tous ressurgissent à cet instant précis.
Notre mémoire joue un rôle important à cette étape de notre vie, elle nous plonge dans une sorte de boucle temporelle ainsi d’atténuer la douleur de la perte, les souvenirs retrouvés nous émerveillent à nouveau. Nous percevons néanmoins un sentiment de culpabilité, sentiment de ne pas avoir été assez présent/présente à leurs côtés.
II. Le Ressenti Spirituel :
Le corps n’est plus mais l’essence spirituelle subsiste. Elle ne s’éteint pas, elle est l’unité de nos corps et de nos différents liens (ressentir une présence proche de nous).
a) Méditation Latente :
Cet état relève d’un apaisement stable sans émotions particulières qui l’entrave. C’est avec cette plénitude que votre essence spirituelle cherche celle qui vous est familière.
b) Essence Familière :
Elle est perceptible lorsque notre éveil est maintenu dans une forme de méditation latente. Cette présence, nous la sollicitons, non pas pour nous détacher de cette perte et continuer notre vie mais pour nous construire spirituellement.
III. Construction Spirituelle :
Nous sommes très souvent ébranlés/ébranlées, déstabilisés/déstabilisées dans cette épreuve difficile. L’attachement que nous portions de leur vivant ne cesse de nous hanter.
La « Construction Spirituelle » se constitue avec notre esprit et notre essence.
Apparaissent alors une phrase anodine souvent répétée, un bruit particulier, un songe… Ces "signes" se distinguent parmi tant d’autres, cette présence vous rassure, vous aide.
De cette construction ressort une libération « d’état névrosé » ponctuel de nos craintes, de nos contraintes, de nos origines (pour la perte d’un membre de la famille ascendante). Cet état naît à certains moments de notre vie quotidienne après la perte de l’être. En fonctions des attaches que nous avons apportées à cet être de son vivant, cet état peut être plus ou moins long en termes de mois.
Je n’ai pas de solutions à vous proposer, chacun/chacune est différent/différente en fonction de ses émotions, de ses souvenirs, de son ressenti. La seule chose que je puisse faire pour vous aider, c’est d’adapter vos communications avec vos défunts proches.
