C’est bien beau de savoir certaines choses du futur ou d’entrer en contact avec le passé, mais bien souvent, c’est parfois douloureux. Nous nous adaptons au quotidien suivant les demandes. Parfois nous divulguons en entier, d’autres fois par brides, si cela va trop loin, nous préférons arrêter la séance.

Il faut mieux se taire lorsque l’on n’est pas sûr de ce que nous ressentons ou visualisons. Il faut avant toute chose, évaluer la teneur d’une phrase ou d’un ressenti pour mieux orienter. Quelque fois, il vaut mieux laisser faire ou dissuader lorsque la nécessité prime.

Les séances des Iguanes sont une longue conversation, suite à des interrogations, à des faits, elles permettent l’apaisement de l’âme et l’orientation vers d’autres horizons. Elles sont nécessaires, nous le faisons avec joie mais nous faisons également attention à notre corps physique car beaucoup d’énergies sont dépensés dans les dialogues qui s’intercalent.

Ce titre d’article est assez bien trouvé car il peut résulter aussi bien d’un ressenti évoqué par l’Iguane en charge de la séance que par l’être qui reçoit la séance. Se forcer à aller plus loin que ses capacités actuelles, savoir tout en freinant la connaissance.

Un être qui ne sera pas éveillé ou pas spirituel sera amené à voir cette souffrance comme une frustration, à l’inverse, l’Iguane pourra se sentir dépassé et devra tenir son discours tout en s’adaptant aux demandes pour le bien-être de l’âme et du corps.