L’article commence par cette simple question : Quelle arme est la plus violente ? Les coups ou les mots ?
> Coup : douleur physique qui s’estompe dans la durée
> Mot : douleur psychique qui ne s’estompe pas
Les mots sont dits sans retenue, ils viennent, s’enchaînent sur différents tons qui peuvent être pour certains, agressifs ou immoraux. Parfois, les excuses tombent mais ne guérissent pas.
- Dans un contexte général :
L’illusion virtuelle de la toile, mettre des mots sur une face cachée derrière un écran. S’attrister du sort des autres, s’afficher « idéal (e) ». Mettre un masque pour mieux dissimuler les mots et les artifices.
La brutalité, violence et agressivité s’oriente sur un schéma destructeur relatif au mal être de la personne qui écrit.
- Dans un contexte symbolique :
Les textes religieux vérité ou inspiration. Lorsque le dessin ou l’imaginaire se mêle aux mots employés. L’illusion d’un temps perdu, renouveau, l’espoir naît de ces textes mais remettent, hélas, en cause leur intégrité.
- Dans un contexte spirituel :
Se méfier des effets contradictoires et des prédictions et utiliser un vocabulaire adapté à chaque dialogue. En dire plus nous amène à une finalité qui ne serait pas judicieuse d’approuver en fonction de la caractéristique et du questionnement.
Apprendre à s’arrêter au bon moment.
Les mots sont ce qu’ils sont malgré les barrières et les interdits. Ils font du bien parfois, mais aussi du mal, apprendre à se taire est une force, apprendre à ignorer lorsqu’ils deviennent durs et cruels est aussi un mental. Se connaître soi-même est la meilleur des manières pour orienter un dialogue sans se blesser soi-même ou autrui.
