À chaque décès, un souvenir, comme si l’être humain se raccrochait à une particule de sa mémoire. Un moment où le temps s’arrête pour ressasser des instants de différentes émotions.

Bousculade sur les plateaux télévisés, une personnalité est égale à quinze documentaires, une voire deux expositions en fonction de sa notoriété, succession sur les Droits d’Auteur, guerre des clans, famille ou tierce personne.

Bataille juridique et j’en passe !

Cet article me fait penser à un exutoire, une pensée profonde qui ne peut être que négative. Autant soulager ses maux permet d’apaiser son esprit, autant extérioriser ses peines permet l’approche d’une sensation de bien-être.

L’égarement d’une retombée drastique sur le souffle d’un dernier désir ne peut proférer un projet déjà rêvé.

Quoi qu’il en soit, la réflexion spirituelle est synonyme de positivité lorsque l’on admet ses sentiments les plus profonds. Bien que les propos tenus dans cet écrit soit contraints à une préoccupation personnelle, il n’en est pas moins que l’on s’autorise à copier cette observation de manière générale.

Pour terminer, l’être est une pâle copie d’un processus bien rôdé et rarement diffamatoire, sans préjugés, ni séquelles, l’enrayer n’est pas encore autoriser en ce 21ème siècle.

Mais je peux me tromper…