S’intéresser à nos vies antérieures attise bien plus que de la curiosité. Comment était-on avant ? Et surtout quels étaient nos métiers ? Nos familles ? Nos environnements ?

L’humain persiste à se comparer aux autres, à lui-même. Bien plus qu’une jalousie, une nécessité.


I. L'existence :
Parfois celle-ci se substitue ou s’efface, le « moi d’avant » étant plus intéressant !

Se superposer à ce que l’on était avant avec l’environnement actuel n’est pas bon dans le sens où le contexte est différent. Pas la même époque, du coup certains processus ne pourront être à l’identique et un fait regrettable pourrait s’immiscer dans votre inconscient.

Plutôt que de revivre, il faut comprendre et analyser pour ne pas reproduire, après tout, si nous avons une autre chance, pourquoi recommencer alors que nous pouvons explorer ?


II. La Présomption spirituelle
A part l’intuition, il y a la méditation axée et la relaxation. Ensuite l’étape consiste à vérifier les souvenirs d’époque s’ils correspondent à la période, au style vestimentaire ou aux archives (que ce soit le domaine professionnel ou l’environnement climatique).

Pour ce faire, que ce soit par site web ou version papier, acter cette reconnaissance permet d’intensifier et d’enrichir le lien.

Etat de présomption : « La première notion nous demande de pas rechercher les personnes nous ayant connus sous une autre apparence et mentalité. S’identifier à une vie passée dans la vie actuelle est prohibé. » (Iguanedudesert > Iguane s’élève)

> Rechercher pour définir le lien : oui.
> Rechercher pour s’identifier et se faire connaître : non.


III. Origine
Par où commencer lorsque l’on recherche l’origine de notre chemin de vie ?

Etat supposé : méditation axée approfondie.

Se concentrer en un point précis, l’idéal serait le commencement du tout premier lien et « remonter le temps » jusqu’au point d’origine.
Par contre pour acter son point d’origine, il va falloir être très patient/patiente. L’univers lui-même est inscrit par des suppositions et des théories plus ou moins vérifiées.
L’essence même de notre âme constitue une solidité dans le passage des différents liens vécus.


Les expériences spirituelles doivent être notées ou codifiées pour poursuivre le chemin. Certaines seront entières, d’autres nécessiteront de recherches accentuées. Prendre le temps est une expression humaine dérisoire face à l’infini de nos vies antérieures.